Dans le master que je suis, les didacticiens ne jurent que par Brousseau et la théorie des situations didactiques, ou presque. Comme je vous l'ai dit dans un message précédent, je me suis donc attelée à la lecture approfondie d'un cours qu'il avait donné à Montréal en 1997, intitulé, la théorie des situations didactiques dont vous pourrez trouver le PDF ici, et le résumé par l'auteur, là.
Il m'aura fallu 7 ou 8 heures pour le lire en entier, crayon à la main, en annotant de couleur, en résumant à moitié en même temps sur du brouillon, et après ça, j'avais entendu, compris des concepts, mais j'étais incapable d'avoir une vision claire de ce que j'avais appris à la lecture de ce cours. Il me faut toujours plusieurs lectures, et surtout, je dois réussir à organiser les choses, à les synthétiser pour les comprendre. Je me retrouve à mon insu en cours de prépa de français où l'on devait faire des résumés en 1000 mots de textes incompréhensibles en 10000 mots!
J'ai aujourd'hui remis au propre mes notes sur un résumé qui est une suite de l'article sur la première partie (encore 3 ou 4 bonnes heures de travail)), mais c'est beaucoup trop lourd et indigeste pour prendre la forme d'une note de blog. Il va encore falloir que je digère un peu pour pouvoir vous en retracer les idées essentielles, sans me perdre dans les détails, et en utilisant mon langage et non pas le sien, mais en ré investissant le vocabulaire propre que je me suis normalement approprié. Chronique donc d'un article à venir!
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